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Préference
Livre
numérique
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Liste des ouvrages par :
Titre
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[Auteur]
Attention, pas de prise en compte pour le titre des: Le, La, Les Etc.
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Au bonheur des dames
Zola Emile
1883
381 Pages |
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À travers une histoire sentimentale, le roman entraîne le lecteur dans le monde des grands magasins, l’une des innovations du Second Empire (1852-1870). |
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Germinal
Zola Emile
1885
484 Pages |
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Treizième roman de la série des Rougon-Macquart. Roman de la lutte des classes et de la misère ouvrière. Un livre de nuit, de violence et de sang, mais qui débouche sur l’espoir d’un monde nouveau lorsque le héros, Étienne Lantier, quittant la mine « en soldat raisonneur de la révolution, » sent naître autour de lui une « armée noire, vengeresse… dont la germination allait bientôt faire éclater la terre ». Germinal marque l’éveil du monde du travail à la conscience de ses droits. |
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J'accuse !
Zola Emile
1898
18 Pages |
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« J'accuse… ! » est le titre d'un article rédigé par Émile Zola au cours de l'affaire Dreyfus et publié dans le journal L'Aurore n° 87 du 13 janvier 1898 sous la forme d'une lettre ouverte au président de la République française, Félix Faure. |
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L'argent
Zola Emile
1876
365 Pages |
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Dix-huitième volume des Rougon-Macquart, L'Argent est le premier grand western financier des temps modernes : bilans falsifiés, connivences politiques, fièvre spéculative, manipulations médiatiques, rumeurs, scandales, coups de Bourse et coups de Jarnac, lutte à mort entre les loups-cerviers de la finance qui déjà rôdaient chez Balzac. |
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L'Assommoir
Zola Emile
1879
391 Pages |
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Qu'est-ce qui nous fascine dans la vie « simple et tranquille » de Gervaise Macquart ? Pourquoi le destin de cette petite blanchisseuse montée de Provence à Paris nous touche-t-il tant aujourd'hui encore ? Que nous disent les exclus du quartier de la Goutte-d'Or version Second Empire ?
L'existence douloureuse de Gervaise est avant tout une passion où s'expriment une intense volonté de vivre, une générosité sans faille, un sens aigu de l'intimité comme de la fête. |
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L'Oeuvre
Zola Emile
1886
340 Pages |
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Quatorzième volume de la série Les Rougon-Macquart. L’ouvrage nous entraîne dans le monde de l’art et des artistes, à travers le portrait d’un artiste peintre, Claude Lantier, dont le personnage évoque Paul Cézanne, grand ami de Zola. |
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La bête humaine
Zola Emile
1893
315 Pages |
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Dix-septième volume de la série Les Rougon-Macquart. Il est le résultat de la fusion d'un roman sur la justice et sur le monde ferroviaire. La bête humaine, c'est le conducteur de train Lantier, le fils de la pauvre Gervaise de L'Assommoir et la victime d'une folie homicide. S'il désire une femme, un atroce désir de sang l'étreint. La bête humaine, c'est aussi sa locomotive à vapeur, la Lison, une puissante machine aimée et entretenue comme une maîtresse. |
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La conquête de Plassans
Zola Emile
1874
314 Pages |
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Quatrième roman de la série Les Rougon-Macquart. C'est l'ambition que précisément s'est fixée Faujas, prêtre bonapartiste ambitieux et sans scrupules, de s'assujettir la ville légitimiste, première étape de l'ascension à laquelle il aspire. Par son pouvoir croissant sur les esprits et sur les âmes, il met en oeuvre une stratégie satanique couronnée de succès, avant la catastrophe. |
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La curée
Zola Emile
1895
265 Pages |
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A la fin d'une chasse, pendant la curée, les chiens dévorent les entrailles de la bête tuée. Pour le jeune Zola qui déteste son époque, c'est le coeur de Paris, entaillé par les larges avenues de Napoléon III, que des spéculateurs véreux s'arrachent. Ce deuxième volume des Rougon-Macquart, histoire naturelle et sociale d'une famille sous le Second Empire, est l'un des plus violents |
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La débâcle
Zola Emile
1892
494 Pages |
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Dix-neuvième volume de la série Les Rougon-Macquart, dont il constitue la conclusion historique. La Débâcle : Sedan, l'effondrement de la France impériale, frivole et corrompue, devant «l'esprit scientifique» de l'Allemagne et l'implacable mécanique de ses armées. La défaite, le siège de Paris, le brasier de la Commune, «l'exécrable semaine» de la répression versaillaise. |
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La faute de l’abbé Mouret
Zola Emile
1875
359 Pages |
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Cinquième volume de la série Les Rougon-Macquart. Faisant suite à La Conquête de Plassans, c’est le second ouvrage de la série qui traite du catholicisme. Serge Mouret est le prêtre d'un pauvre village, quelque part sur les plateaux désolés et brûlés du Midi de la France. Barricadé dans sa petite église, muré dans les certitudes émerveillées de sa foi, assujetti avec ravissement au rituel de sa fonction et aux horaires maniaques que lui impose sa vieille servante, il vit plus en ermite qu'en prêtre. |
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La fortune des Rougon
Zola Emile
1871
287 Pages |
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Premier volume de la série Les Rougon-Macquart. Dans la petite ville provençale de Plassans, au lendemain du coup d’Etat d’où va naître le Second Empire, deux adolescents, Miette et Silvère, se mêlent aux insurgés. Leur histoire d’amour comme le soulèvement des républicains traversent le roman, mais au-delà d’eux, c’est aussi la naissance d’une famille qui se trouve évoquée : les Rougon en même temps que les Macquart dont la double lignée, légitime et bâtarde, descend de la grand-mère de Silvère, Tante Dide. |
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La joie de vivre
Zola Emile
1884
300 Pages |
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Douzième volume de la série Les Rougon-Macquart. Ce roman oppose le personnage de Pauline, qui aime la vie même si celle-ci ne lui apporte guère de satisfactions, à celui de Lazare, être velléitaire et indécis, rongé par la peur de la mort.
Roman psychologique, roman de la douleur où les êtres sont taraudés par la peur de la mort face à une mer destructrice. |
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La mort d'Olivier Bécaille
Zola Emile
1884
36 Pages |
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La mort d'Olivier Bécaille « C'est un samedi, à six heures du matin, que je suis mort après trois jours de maladie ». Olivier Bécaille est-il mort ? C'est le diagnostic que le médecin, convoqué par sa femme, prononce au-dessus du corps inanimé. Le cadavre n'en a pourtant que l'apparence : emmuré dans son corps, l'homme continue de percevoir le monde autour de lui. Et si, trompé par sa torpeur, on l'enterrait vivant ? Satiriques et scabreuses, ces quatre nouvelles reviennent avec audace sur les motifs chers aux tenants du réalisme : l'ambition sociale, l'hypocrisie, la petitesse et la cupidité des classes bourgeoises. |
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